voila mon idée:
alors j'ai réfléchi à deux systèmes:
1. Le premier système que voici est un embrayage double, c-à-d qu'il y a un embrayage automatique centrifuge qui fonctionne lorsque l'on veut faire gueuler le moteur.
et le deuxième embrayage est manuel et est utilisé lorsque l'ont veut un démarrage lent et pépère.
je vais tanter de vous expliquer le principe:
A. En mode automatique centrifuge c'est assez simple, les machoires sont équipée de ressort assez rigide qui font que le régime d'embrayement est assez haut, et donc, il suffit d'accelerer assez fort pour que ca embraye (comme d'orgine).
Donc, quand la force centrifuge devient assez importante les machoires s'écartent.
Dans la commande d'embrayage il y a un ressort léger qui maintient les deux cône en contact (par simple frottement) et donc le cône vert tourne en meme temps que la poulie (il est monté sur roulement), lorsque les machoires s'écartement le cône vert s'enfoncer dans le cône rouge et donc la cloche étant dépendante du cône vert celle-ci avance en meme temps ainsi que la commande d'embrayage.
B. Maintenant en mode manuel, le moteur est au ralenti et on veut démarrer doucement, facile, on accelere un peu et on appui sur le levier d'embrayage au guidon (en faite c'est un embrayage à commande inversée).
En actionnant le levier d'embrayage au guidon via la commande d'embrayage on force a cloche à avancer vers la poulie ce qui a pour effet de faire pénétrer le cône vert dans le rouge et comme vous l'avez compris cela écarte les machoires d'embrayages qui viennent en contact avec le cloche.
Une fois la mob en mouvement le régime moteur augmente et on doit continuer à maintenir le levier d'embrayage enfoncé.
Arrivé à un certain régime la force centrifuge est suffisante pour vaincre les ressort d'embrayage, la force qu'exerce les machoires sur la cloche augmente naturelement avec la force centrifuge.
C'est à ce moment là que l'on peut relacher le levier d'embrayage au guidon, de toute facon on remarquera qu'il deviendra un peu moux.
Quand on relache le levier d'embrayage il ne se passe rien, le levier aura beaucoup de moux car le cable sera détendu.
Et je le rapelle, le cône vert et rouge restent toujours en contact car il y a un ressort leger au niveau de la commande d'embrayage.
Ensuite, imaginons nous roulons à pleine vitesse et on freine, pas de problème, la vitesse de rotation diminuant la force centrifuge diminue aussi et naturelement les machoires vont se décoller de la cloche.
La commande d'embrayage au guidon va redevenir dur car le cône vert aura reculé.
Autre situation: en veut un démarrage pépère, on accelere un peu et on actionne le levier d'embrayage, la mob se met en mouvement.
Si maintenant on relache le levier d'embrayage il va se passer que la mob va subitement débrayer.
En effet cela est dû au faite que, la vitesse de rotation n'est pas assez élevée pour que les machoires s'écartent naturelement avec la force centrifuge.
2. Le deuxième système d'embrayage que j'ai imaginé différe peu du premier.
A la grande différence qu'il s'agit ici d'un embrayage intégral, et non plus d'un embrayage soit automatique soit manuel.
Dans ce système la commande d'embrayage au guidon n'est plus inversé, c-a-d que quand on appui sur le levier on débraye, quand on le lache en embraye.
Dans ce système il n'y a pas de ressort d'embrayage qui retiennent les machoires.
Mais il y a une liaison mécanique entre les deux cônes.
petite simulation:
Lorsque le levier d'embrayage est relaché il y a un ressort puissant (au niveau de la commande d'embrayage) qui appui sur la cloche et donc comme toujours par pénétration du cône vert dans le rouge les machoires sont plaqué contre la cloche.
Tandis que, lorsque le levier d'embrayage au guidon est actionné cela a pour effet de faire reculer la cloche et donc de faire sortir le cône vert.
Mais comme je l'ai dit, les deux cônes sont solidaire et donc si le cône vert recule obligatoirement les machoires se décollent de la cloche.
Imaginons: le levier est enfoncé, on accelere et on relache progressivement le levier d'embrayage au guidon, la commande d'embrayage pousse donc sur la cloche et de fil en aiguille les machoires s'écartent et vienne en contact avec la cloche.
La mob se met à avancer
A plein régime, la force centrifuge devient tel que ce n'est plus le ressort puissant dans la commande d'embrayage qui crée vraiment l'adhérence des machoires sur la cloche, mais c'est la force centrifuge qui va "prendre le relais".
Si à plein régime on actionne le levier d'embrayage au guidon cela à pour effert de faire reculer la cloche et donc décoller les garnitures ce qui débraye, le moteur se met à gueuler dans le vent.
simulation 2:
La mob est à l'arret, levier d'embrayage enfoncé, on accelere comme un peté.
En théorie la force centriguge qui s'exercent sur les machoires devrait normalement faire que celle-ci s'écartent et viennent en contact avec la cloche.
Mais non, car comme je le rapelle, il y a une liaison mécanique entre les deux cônes et donc les machoires ne pouvent pas bouger tant que l'on tient enfoncé le levier d'embrayage.
3. mise en oeuvre:
- Le problème commun aux deux systèmes est de réussir à tailler un cône dans les machoires d'embrayage, celle-ci sont en aluminium et il y a peu de matière.
Donc il y a plusieurs solutions: soit refabriquer des machoires avec suffisament de matière, soit venir fixer sur les machoires une pièce dans laquelle sera taillé le cône, etc etc.
- le problème propre au système 1 c'est qu'il faut trouver un endroit pour placer les ressorts d'embrayage qui retiennent les machoires, et là place fait défaut.
- dans le système 2 le gros problème est de réussir à crée la liaison mécanique entre les deux cônes, j'avais pensé à une sorte de glissière mais ce n'est pas évident à mettre en oeuvre sans compter qu'encore une fois au niveau des machoires il y a très peu de place et de matière.
Voici une petite vue du dessus pour voir à quoi ressemblerait le cône rouge des machoires en réalité:
